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VIVRE CONSCIEMMENT

Ce texte est extrait du eBook L'Alimentation Naturelle Idéale
selon la Néo-Naturo-Thérapie

disponible Août 2017
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ALIMENTATION NATURELLE IDÉALE

Les Besoins Physiologiques

La réplique que j’entends le plus souvent est : “si la viande, les produits laitiers et le tofu ne sont pas bon pour ma santé, où vais-je prendre mes protéines ?” Si ce ne sont pas les protéines dont on s’inquiète, ce sont les calories, ou les vitamines... Quels autres organismes vivant sur Terre se basent sur des documents écrits, sur des analyses, des études, des statistiques, des recherches... subventionnées ?

Il y a de quoi se perdre face à toutes les théories touchant à l’alimentation et à la santé. De nombreuses contradictions se rencontrent chez tous les diplômés ou illuminés qui prêchent le remède idéal, la diète miracle, l’aliment santé, le supplément complet... En fait, rares sont ceux qui savent exactement de quoi ils parlent, ou qui connaissent les mécanismes réels de l’organisme humain, en ce qui concerne surtout le développement des états maladifs.

La « matière » que constitue le corps humain (la masse moléculaire) peut être contenue dans un dé à coudre! La science se voit obligée de reconnaître l’aspect Énergétique de la vie et de la matière, mais elle est loin d’accepter de le transposer sur le corps humain. En fait, ce dernier est un ensemble de peu de matière parcourue par l’Énergie, dite vitale. C’est cette circulation d’Énergie qui donne une illusion de densité (déplacement moléculaire). Mais il n’en est rien.

Toutes les molécules (c’est-à-dire : cellules, tissus, organes...) dans un dé à coudre ! Il vous est donc aisé de reconnaître que les besoins du corps pour maintenir la vie et se régénérer sont minimes. Il devrait en être ainsi. Mais la quantité nutritive nécessaire au fonctionnement naturel de l’organisme humain, si minime soit-elle, doit être avant tout assimilable.

Et voilà le hic majeur. Ce n’est pas parce que théoriquement vous avez des protides, des minéraux, des vitamines dans votre assiette qu’ils pourront être utilisés (assimilés par le corps).

Et puis regardons donc ces fameux besoins de l’organisme tels que prônés par... par qui ? Par les multinationales, pauvres gens !

Savez-vous comment ils ont fait pour découvrir les rations quotidiennes recommandées ? Vous ne vous êtes jamais interrogés sur le sujet ? Vous avez accepté aveuglément, avec respect et crainte (d’être malades), des théories qui furent avant tout échafaudées à partir d’études subventionnées par les multinationales.

Il y a plusieurs aberrations concernant les besoins nutritifs du corps humain. En premier, je dirais qu’il y a la méthode par laquelle on détermine les doses quotidiennes recommandées.

Pour connaître le besoin quotidien, disons en vitamine C, il suffit de payer des cobayes humains (40 ou 100 personnes selon le budget) pour les enfermer sous observation pour leur faire consommer une ration précise, disons, 3000mg de vitamine C (synthétique bien entendu!, c’est la compagnie qui la fournie). Puis, on attend patiemment leur petit pipi et leur petit caca pour les analyser. Disons qu’en moyenne on retrouve 2700mg dans les évacuations, on crie à la découverte du siècle. Dans un rapport de cent pages au moins, camouflé derrière de grands termes scientifiques pour faire sérieux et pour justifier le salaire des chercheurs, on révèle l’opération qu’un enfant de 8 ans aurait pu accomplir: 3000mg - 2700mg = 300mg.

La « science » affirme avec autorité que le corps humain requiert 300mg de vitamine C par jour!!! Car, selon la Médecine, s’il en manque 300mg à la sortie, c’est que le corps les a utilisés !!! Et c’est comme cela avec toutes les vitamines, les minéraux, les protéines,... Réellement, tout le Guide Alimentaire Canadien est basé là-dessus. Complètement aberrant !

Le gros hic est que la science aveugle, avec tout son attirail, n’est pas en mesure d’évaluer ce que le corps transpire, ce qui est évaporé par la peau et ce qui est expiré par les poumons !!! Dans notre exemple simpliste, il y aurait certainement 100mg de vit. C évacués via la peau et 100g par les poumons. Ce qui ferait que la consommation réelle de vitamine C n’est pas de 300mg, mais de seulement 100. Et c’est ainsi pour tous les éléments « nutritifs » que l’on vous incite à surconsommer...

Dr. Eve Jones a même affirmé que les intestins et les reins n’évacuaient que 10% des résidus métaboliques. Donc, toutes les rations déterminées par la « science » sont fausses car elles ne tiennent pas compte des substances évacuées par la peau et par les poumons (qui représentent 90%). Le Dr. Jensen dit qu’une personne moyenne, avec une activité moyenne, évacue entre 1kg à 2kg de matières par la peau en 24 heures (sous forme de transpiration et de gaz – matière pulvérisée !).

Mais au départ, l’on a déterminé les besoins alimentaires par la distribution de substances chimiqués à des cobayes qui ne sont jamais en santé parfaite... qui sont régulièrement médicamentés (pour ensuite analyser leurs évacuations). Le problème est qu’une personne normale intoxiquée, ne peut pas assimiler de la même manière, puisque son système digestif est délabré, que son sang est vicié. Et puis, lorsque vous êtes en santé, avez-vous les mêmes évacuations que lorsque vous êtes malades ? Non, bien entendu. Alors, ce qui est évacué en excès durant la maladie est justement ce qui la causait. Le corps travaille constamment à maintenir l’homéostasie.

L’autre aberration est que l’on fait généralement les études en analysant des éléments isolés, comme la vitamine C, qui sont tous sous forme synthétique (inorganique)... car, ils sont plus faciles et plus précis à calculer au niveau du premier facteur de l’équation (la consommation quotidienne). Puisque la majorité de ces molécules synthétiques ne peuvent être assimilées et qu’elles encrassent les tissus, les besoins réels du corps que les scientifiques établissent sont largement exagérés... ils ne servent qu’à promouvoir la surconsommation. Le problème est que pour la Médecine, intoxication = assimilation : soit, ce qui n’est pas sorti de ce qui est entré ! Donc, leurs soustractions simplistes ne sont vraiment pas des études scientifiques et sont fausses à cause de plusieurs facteurs non considérés par la Médecine.

La Médecine a commis un énorme erreur en établissant des tables de digestibilité. Les chercheurs (observateurs) ont confondu la digestion avec la durée du séjour des aliments dans le système digestif (notamment dans l’estomac). Ce sont deux choses sont entièrement différentes. Dans l’alimentation moderne, pour la majorité des gens, il n’y a qu’un petit pourcentage des aliments ingérés qui se rend comme nutriments aux cellules.

Il est impossible de déterminer la quantité de minéraux, de vitamines, de calories nécessaires tous les jours et pour tout le monde. C’est totalement absurde. Déjà, s’il fait +30° et que vous mangiez à l’extérieur ou que vous êtes dans une pièce close pour ensuite sortir dehors par un - 30°, le contenu de votre assiette ne sera pas digéré/assimilé de la même manière.

L’on ne peut pas non plus généraliser tous les systèmes digestifs. Ce n’est pas parce qu’un aliment renferme des vitamines, des minéraux (dans un certain laboratoire), qu’ils sont utilisables par l’organisme. Ce qu’il y a dans votre assiette, ne se rend pas nécessairement à vos cellules. Même sous forme assimilable, il peut y avoir des réactions générant tout à fait un processus inverse : l’épuisement du corps de ces mêmes substances. La digestion de la nourriture dépend absolument de l’état du système digestif, s’il est libre ou encombré, en vitalité ou intoxiqué. Tout comme l’aspect émotif influence la digestion, l’assimilation et l’évacuation.

C’est stupide de penser que si tous les individus d’une espèce ont la même diète, qu’ils auront tous une santé identique. À défaut de pouvoir gérer la fonction nutritionnelle en fonction des besoins précis de l’organisme, on établit des moyennes qui ne peuvent en aucun cas tenir compte à la fois de la complexité et de la variabilité de ces besoins. Nous ne sommes pas une machine qui fonctionne toujours pareillement avec les mêmes besoins quotidiens. Le développement mental au travers l’évolution a toujours été de pair avec la qualité de la nourriture absorbée et surtout sa disponibilité (quantité).

L’on publicise en premier les besoins nutritifs dans des guides alimentaires « officiels » généralement distribués par le gouvernement, mais sont subventionnés par les industries. Puis, les journaux et les magazines publient des interprétations d’extraits de ces papiers scientifiques.

Les diététistes sont aussi programmés par l’industrie alimentaire (et pharmaceutique) que les médecins. On leur entend dire les pires insanités face à l’alimentation. Les diététistes sont à présent des porte-parole de l’industrie alimentaire en tentant de proposer aux bons consommateurs malades, des façons de l’être moins, des trucs pour détourner les désagréments d’une alimentation indigeste. On voit fréquemment des diététistes (aller savoir pourquoi elles sont toujours jolies) à la télé, pour tempérer les résultats de recherche accusatrice. « Faites bien cuire la viande tout simplement. » «Utilisez de la margarine au lieu du beurre. »

L’ingestion des produits de l’art culinaire n’est pas soumise aux besoins spécifiques de chaque organisme. Dans la Diététique officielle, IL EST INTERDIT D’INTERDIRE !

Nos besoins nutritifs dépendent de nos activités physiques et mentales.

L’organisme d’un travailleur manuel n’a certes pas les mêmes besoins que celui d’un intellectuel. Idem pour les résidents des tropiques et des pays nordiques. Mais, les mêmes Lois s’appliquent : il faut considérer la qualité (aliments vitalités) et la quantité.

L’on accuse souvent à tort la sédentarité, qui d’ailleurs peut être corrigée par la simple volonté de faire quotidiennement des exercices physiques, alors que c’est plutôt la consommation d’aliments inappropriés à notre constitution et à nos activités matérielles et mentales qui causent des malaises... aliments forcés par les publicités et leurs additifs.

La science médicale voit le corps humain du point de vue matérialiste, mécanique : une entrée, des rouages, une sortie. Toute la science médicale se base sur des expériences d’essais-erreurs, sur des observations de réactions physiologiques. Et de nombreux cobayes humains ont eu à subir les « pratiques » depuis plusieurs années.

Si le corps ne renferme qu’un dé à coudre de molécules, pourquoi chercher à le gaver de « trois assiettées » à tous les jours ? Parce qu’il est payant de faire croire au peuple que c’est vrai. Parce que ces mêmes multinationales vous offrent des produits inassimilables (il faut donc en manger plus pour en retirer quelques pacotilles de nutriments). Parce que la plus lucrative industrie est celle de la pharmaceutique et qu’elle se « nourrit » bien de tous les excès alimentaires conditionnés par de faux tableaux établis à partir de fausses expériences. Mais que ces multinationales abusent de vous, on peut comprendre. Mais que d’autres charlatans brandissent le terme « naturel » et cherchent à se remplir les poches, passent un peu moins.

On mange, en général, ce que le cuisinier (la cuisinière) prépare,
ou ce que le médecin (ou thérapeute) prescrit. On ne tient aucun compte
des limites physiologiques, et l’on croit, à tort, que le corps humain peut
digérer n’importe quelle quantité ou n’importe quel mélange alimentaire.
Or la digestion est régie, par la chimie physiologique.
Les chimistes ignorent ce fait, et continuent d’empoisonner le public
avec des menus impossibles à élaborer.
Nous devons prendre en considération les limites physiologiques
des glandes digestives, ainsi que celles des enzymes.
Il n’importe pas tant de savoir ce que nous mangeons, que ce que nous digérons et assimilons.
Nous ne sommes pas ce que nous mangeons,
et l’on sera plus près de la vérité en suggérant que nous sommes
ce que nous digérons. En effet, quand le bol alimentaire se décompose, il ne procure pas à l’organisme les « calories » et les « vitamines » qu’il renferme.
Seuls les aliments digérés et assimilés profitent à notre corps et le fortifient.
- Albert Mosséri.

Lorsque les aliments se décomposent dans le tube digestif, ils produisent les mêmes poisons que s’ils se décomposaient à l’air libre, hors du corps.

Avez-vous déjà senti un morceau de viande putréfiée, des oeufs gâtés, du poisson avarié et des fruits pourris ? Dans l’organisme, ces pourritures ont les mêmes caractéristiques qu’à l’air libre. Et la médecine cherche à faire disparaître les symptômes (aigreur, acidité, crampe, mauvaise haleine, etc.). Mais la pourriture demeure à l’intérieur, en plus d’y ajouter d’autres poisons (médicaments). Alors la fois d’après, le corps réagit encore plus violemment et la « maladie » est plus « grave ».

Lorsqu’on ingère un mélange indigeste qui fermente à coup sûr, le corps réagit et sonne l’alerte. Un aliment très indigeste ne sollicite pas les fonctions de l’estomac qui s’en débarrasse au plus tôt en le chassant dans l’intestin. Tous les organes sont activés à neutraliser et à évacuer d’urgence la masse avant qu’elle ne fasse trop de ravages, et qu’elle propage ses bacilles dangereux dans tout l’organisme. Et l’on interprète les réactions physiologiques comme étant bénéfiques, alors que le corps travaille inutilement. Tout comme le fouet qui fait travailler plus rapidement le cheval (chez l’être humain: le coca, le café...). Mais il se fatigue à long terme et vieillit plus vite. Le corps se draine de ses réserves d’Énergie vitale et de ses sucs gastriques.

Le résultat ne peut être que des selles molles le lendemain chez plusieurs, ou la constipation chez d’autres (de la fatigue ou des humeurs maussades).

Ces réactions sont opposées me direz-vous, mais ce n’est qu’elles dépendent de l’état des intestins et de la réalité de chacun.

Ce que la Diététique officielle nomment nutritives (ou fortifiantes) ne concernent que des substances qui en réalité sont intoxicantes (indigestes) et qui produisent un branle bas de combat dans l’organisme qui est mal décodé.

C’est la sensation de vitalité qui peut seule nous révéler si nos besoins physiologiques ont été satisfaits ou non dans la journée ou la veille. Et pour savoir si notre sensation de vitalité est vraie ou fausse, il suffit de regarder si ce que nous mangeons est vivant. Regardez combien il vous faut de temps pour récupérer après un repas. Regardez si vous êtes alerte et vivifié après une nuit de sommeil.

Ce n’est pas parce qu’une substance ou un mélange a eu des « effets bénéfiques » (interprétés comme tel) sur quelques individus (malades), qu’il en sera de même pour tout le monde, et cela peu importe leur passé, leur condition actuelle (état du système digestif, nervosité, stress, rythme de vie, pensées, la saison, le pays...). Il est important de comprendre que les substances inorganiques (issues des industries) ne font que réagir le corps. Alors que les substances naturelles font agir le corps. Naturel signifie: tel que la Nature nous l’offre, et non pas parce que c’est écrit « naturel » sur une étiquette.

La Nature n’a pas besoin d’étiquette, ni de date d’expiration, ni d’usines, ni de presses, ni de moulins, ni de robots culinaires, ni de réfrigérateur, ni d’emballages, ni d’assaisonnements pour masquer la détérioration et inciter à provoquer la surconsommation.

Les besoins réels du corps

Il faut bien réaliser que le corps humain n’a pas besoin exactement des mêmes matériaux de remplacement tous les jours. Ces « blocs de construction » doivent être des éléments organiques (producteurs primaires), soit des parties constituantes élémentaires de corps vivants, et ces éléments ont été réduits ou divisés par la digestion (où il fut retirer le principe de Vie). Nos cellules requièrent de très petits corps formés de matière organisée (libres ou contigus) et qui sont irréductibles... et pouvant facilement être véhiculés par la lymphe et le sang. Par conséquent, aucune norme nutritive s’applique, car la digestion de chacun diffère... et de décennie en décennie, le pouvoir digestif des humains se détériore. Même si ce sont des moyennes statistiques réalisées par des milliers d’études, elles n’ont aucune valeur.

Les besoins réels du corps s’établissent par l’instinct alimentaire. Ils varient selon l’état du système digestif, l’avancement de l’élimination des repas précédents, de la température, de la pression atmosphérique, de l’état mental, de l’état émotif, du niveau de fatigue et de stress, de l’activité physique et mentale... Bref, c’est propre à chacun, dans l’instant présent, à l’endroit que l’on se trouve et selon les activités dans ce quotidien.

Si le corps avait besoin d’une seule pomme dans repas, et que vous en mangiez deux, il y en aurait une qui serait une surcharge et une source d’intoxication. Le corps nécessite que très peu de matière pour se régénérer. Mais il faut lui apporter les molécules et l’Énergie dont il nécessite dans un certain présent. Les envies sont bien souvent des messages pour révéler les manques. Mais s’il y avait du chou au menu et que le corps nécessite ce jour-là principalement de l’iode, la conséquence est bien sûr une exagération de la quantité de choux pour aller chercher la ration requise en iode (car cet aliment accélère l’excrétion de l’iode dans les urines). Mais il s’ensuit une intoxication; le corps doit déplacer des molécules inutiles.

Peu importe la source qu’elle soit végétarienne, crue, biologique. Ce n’est pas parce qu’une chose est naturelle, vivante, biologique, que le corps va l’assimiler. Il va procéder à sa transformation, mais la quantité de résidus est en fonction des besoins du corps ce jour-là.

Une certaine journée, une carotte peut guérir la personne, le lendemain, elle peut générer une maladie. Chaque aliment possède une vibration, des Énergies subtiles qui lui sont propres.

C’est une totale aberration que d’imposer des besoins alimentaires quotidiens. Des milliers de publications vous imposent des tableaux divers remplis de chiffres vous révélant tous les éléments que vous devez consommés quotidiennement. Presque tous les produits alimentaires vous programment par ces statistiques bien en vue sur leur emballage. Plusieurs emballages vous informent même de la ration quotidienne du produit, que vous pesiez 45kg ou 150. Il n’y a pas deux organismes identiques, avec des besoins identiques tous les jours, avec le même stress, avec le même environnement...

Il est difficile de s’orienter vers une approche alternative de la nutrition quand le public est saturé de mensonges par un bourrage de crâne pseudo-scientifique... De plus en plus cherche-t-on à faire peur aux gens, mais surtout à leur faire croire à de fausses guérisons, à de faux remèdes et à des opérations inutiles.

Il est peut-être temps que les médecins, les thérapeutes et les nutritionnistes acceptent qu’il n’y ait pas deux organismes qui réagissent de la même manière, ni nécessitent les mêmes composantes alimentaires strictement établies aléatoirement et théoriquement.


Les besoins protéiniques

Si ça vous tente d’attraper un poisson (avec vos mains ou autre ingéniosité) et de mordre à pleines dents, eh bien ! faites-le. Si vous ressentez l’envie irrésistible de courir après une vache ou un chevreuil ou un lièvre pour déchirer leur chair avec vos dents, eh bien ! faites-le. Cela serait un signe émit de votre instinct alimentaire inné.

À la question fréquente : « Où vais-je prendre mes protéines ? », je répond simplement « Où la vache prend t’elle ses protéines ? Où l’éléphant, le plus gros des animaux, prend t’il ses protéines ? » Oui, tous les végétaux renferment des protéines, même l’herbe et les feuilles des arbres ! Alors, cessez donc de paniquer. C’est évident (et prouvé par les analyses de dents) que les premiers hommes n’étaient pas carnivores... avant d’inventer les armes et les pièges, ils ne s’alimentaient que de fruits, de feuillage et de racines (tubercules). Pourtant, la civilisation s’est bien maintenue durant des MILLIONS d’années... et sans médecin et sans médicament. Si l’humanité a pu survivre jusqu’à l’arrivée de la médecine chimique moderne (voir l’emplacement d’Hippocrate dans les graphiques), c’est bien parce que l’existence est possible sans elle.

Lorsqu’on vous dit qu’il faut consommer au moins 100 gr de protéines, cela ne correspond pas nécessairement à vos besoins personnels. Et puis, ce qu’il est important de savoir, c’est que le corps humain, en fait aucun animal, ne peut utiliser directement les protéines ingérées. Toutes les protéines, qui sont de longues chaînes d’acides aminés peu importe leur source, doivent être brisées. Tous les organismes vivants (végétaux ou animaux) partagent les MÊMES vingt-deux (22) acides aminés !!! La science a déterminé qu’il n’y en avait que huit (8) indispensables (car plusieurs peuvent muter en un autre acide aminé).

Donc, pour « digérer » une protéine, il faut la scinder en petits bouts d’acides aminés ou en acides aminés simples... pour que l’organisme puisse lui-même réagencer ces blocs de construction selon SES PROPRES BESOINS PROTIDIQUES. Une excellente comparaison est que les protéines sont des mots et les acides aminés sont des lettres : pour s’exprimer et dans sa langue, il faut réagencer les lettres pour former ses propres mots.

Par conséquent, nos besoins protéiniques ne peuvent être satisfaits que si notre système digestif est en bon état. Dès qu’il est affaibli ou surchargé, la décomposition des longues molécules de protéines animales ne peuvent pas se faire. Ainsi, les protéines ingérées ne serviront pas à synthétiser nos propres protéines, mais produiront de la putréfaction et intoxiqueront l’organisme. Plus les molécules sont grosses, plus elles encrassent les tissus, car elles trouvent résistance partout... elles se déposent et s’accumulent.


Les besoins vitaminiques

Nous avons vu que ce n’est pas parce que des analyses ont révélé la présence d’une substance dans un aliment que tous les organismes vivants seront capables de l’assimiler. Le problème avec les vitamines est qu’elles sont vaguement définies, car elles n’ont pas grand chose en commun au point de vue de la chimie (similarité moléculaire).

Le métabolisme de l’organisme nécessite que des quantités minimes de vitamines, et l’on en fait tout un drame... parce que l’on veut en commercialiser des synthétiques.

Le contenu de toutes ces jolies bouteilles de minéraux et surtout de vitamines qui sont si facilement commercialisées, ne servent aucunement à l’assimilation organique requise par nos cellules. Là encore, leurs actions se situent au niveau des agressions qu’elles provoquent.

L’assimilation d’une substance dépend très souvent de la présence d’une ou plusieurs autres, et cela est particulièrement vrai concernant les vitamines. C’est là l’importance de consommer des aliments entiers. Et ce n’est absolument pas en isolant des molécules (pour les commercialiser telle quelle ou pour pouvoir la reproduire synthétiquement) qu’elles seront plus facilement assimilables par notre organisme. En extrayant des molécules, on les rend toujours inorganiques (on les dévitalise, elles vibrent moins), par conséquent inassimilables. La vitamine C d’une orange est bénéfique parce que le fruit fournit également d’autres éléments organiques complémentaires qui sont indispensables à son assimilation.

L’on dit que la vitamine C est un bon stimulant naturel, et plusieurs athlètes en consomment de grandes quantités. Mais, en réalité, cette vitamine synthétique est un poison et tout l’organisme réagit à sa présence dans le flot sanguin. On se sent plus vitalisé, alors que c’est la panique à bord et que l’on gaspille notre Énergie vitale à combattre et à éliminer un poison.

L’industrie alimentaire ajoute des vitamines synthétiques parce que l’on a détruit les vraies vitamines organiques durant la transformation et la préparation du produit alimentaire. Les deuxièmes auraient pu être assimilées, les premières ne font que provoquer des réactions.


Les besoins caloriques

En alimentation, une bonne partie du siècle dernier fut dominé par la notion de calories. Il était évident que la recherche scientifique débouche sur le concept énergétique-calorique, puisqu’on avait du travail à accomplir, besoin de bons soldats, de bons travailleurs qui tiennent le coup toute la journée et qui produisent. On a cherché à pousser la machine humaine à son maximum de productivité en la gavant d’excitants de toute sorte (sucres, pâtes alimentaires, viandes préparées, alcool, drogues...).

Pour ensuite engourdir ses malaises avec des médicaments.

Les calories sont l’une des plus grandes absurdités scientifiques, spécialement dans le but de déterminer la quantité d’aliments à consommer par la mesure du nombre de calories qu’ils renferment. La façon que l’on a établi la calibration de la calorie n’a absolument rien à voir avec les transformations digestives humaines.

Les besoins caloriques établis entre 2 000 et 2 500 kilocalories par jour sont totalement absurdes. Aucun animal dans la Nature ne s’inquiète des calories qu’il consomme, il est simplement à l’écoute de son instinct. On réduit l’être humain à une simple machine requérant de l’énergie calorique pour accomplir une certaine activité physique (son rôle dans l’économie).

L’on nous martèle le mental en énonçant la relation simpliste : on prend du poids quand on consomme plus de calories qu’en a besoin notre organisme. L’on ne tient absolument pas compte de tous ces produits chimiques qui incitent la surconsommation. Au lieu de traumatiser les gens avec les conneries de calories, pourquoi ne pas simplement éliminer tous les produits caloriques vides de nutriments ? 

Les diététiciens poussent leur insanité à considérer notre poids actuel pour déterminer la quantité de calories à bouffer. Comme si toutes les carottes fournissaient exactement 200 calories ! et qu’elles étaient toutes entièrement et également assimilables par tous les humains.

L’industrie alimentaire utilise beaucoup de matières grasses, puisqu’on peut en manger d’énormes quantités sans même s’en apercevoir. À moindre coût, elles stimulent la surconsommation et améliorent la sensation en bouche (le gras est parfait pour apporter une texture fondante aux produits). Eh! oui, ces chers chercheurs ont trouvé la « disparition de la densité calorique » : si un aliment fond rapidement dans la bouche, votre cerveau croit qu’il n’y a pas de calories dedans et vous pouvez continuez d’en manger éternellement.

Si les substances que l’on dit élevées en calories font engraisser, CE N’EST PARCE QU’ELLES NE SONT PAS DIGESTES, cela n’a rien à voir avec un chiffre bidon.

Ne choisisissez jamais vos aliments en fonction de leur valeur calorique.

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