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VIVRE CONSCIEMMENT

Ce texte fut publié dans le eZine PeupleConnscient #004


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DÉTOXICATION / PERTE DE POIDS

Les revues sur la Santé abondent. L’on y parle surtout de la perte de poids, surtout au printemps… bikini oblige ! Ce n’est pas une tâche facile puisque nous sommes tous accrocs du sel, du sucre et du gras... Et que notre hygiène ne tient pas compte de l’importance de nos quatre organes émonctoires.

Pour moi, la notion de perdre du poids est une approche « négative » et culpabilisante. Si une personne veut perdre du poids, c’est généralement parce qu’elle sait très bien qu’elle a triché, qu’elle a été trop gourmande, qu’elle n’a pas de volonté, etc. Elle veut perdre du poids… PRINCIPALEMENT pour avoir une meilleure apparence physique ! Vivent les top-models retouchées comme exemples…

Perdre du poids, c’est une question d’esthétique en premier, alors que se détoxiquer est en premier une question de retrouver la santé.

Perdre du poids n’est absolument pas retrouver la santé, et nous avons une infinité de preuves le démontrant. Pour perdre du poids, la majorité des régimes visent à éliminer dans un minimum de journées de restrictions alimentaires, les liquides et les graisses en trop. Malheureusement, la majorité des substances étrangères intoxicantes demeurent et sont encore plus toxiques (ayant moins de liquide et de graisse pour les isoler des cellules qu’elles agressent et détruisent).

En entreprenant un processus de détoxication, il est évident que l’on perd du poids. Et le poids que l’on perd est justement la matière inutile qui intoxiquait notre organisme, qui empêchait l’assimilation des nutriments, et par conséquent, favorisait l’accumulation de matières inutiles (en trop grande quantité pour être promptement évacuées).

Être en surpoids n’est pas une question de graisse ni de sucre ni de calorie. C’est tout simplement l’accumulation de substances étrangères (qui ne peuvent être assimilées par les cellules ni ne pourront jamais l’être). Ce sont ces molécules intoxicantes qui forcent les cellules à réagir pour générer la modification des tissus qu’elles composent. Les substances étrangères produisent énormément de frictions blessantes et le corps réagit par la rétention d’eau et la production de tissus adipeux. C’est la même réaction qui se développe dans les vaisseaux sanguins forcés de faire circuler un sang vicié : il y a production de cholestérol pour réduire la friction des substances étrangères sur les parois internes fragiles des vaisseaux.

L’on est obèse lorsqu’il y a trop d’Entrées et pas assez de Sorties. La santé (homéostasie), est lorsqu’il y a un équilibre entre les matières assimilées et les matières désassimilées.

Chacun de nous traversons tout au long de notre vie une série d’expériences différentes. Ce qui diffère par ailleurs d’un individu à l’autre n’est pas tant les scénarios vécus, mais la réaction individuelle face à une situation particulière. Nous sommes avides de connaître les réactions des autres dans diverses situations, d’où la popularité des films et émissions télé. L’on tente de tirer profit des expériences des autres. Est-ce avisé de le faire ? En ce qui concerne l’Alimentation, non pas vraiment.

Lorsque nous découvrons des Connaissances, plus elles diffèrent de nos croyances actuelles, plus il est difficile d’avoir l’esprit ouvert. Plus une croyance ou pratique est vieille, plus il est ardu de la remplacer par une autre.

Concernant l’alimentation, c’est encore plus difficile, car les aliments affectent le développement de notre corps physique, mais influencent aussi nos émotions. Les souvenirs alimentaires sont donc plus ancrés… en particulier ceux concernant les pratiques alimentaires de notre mère et de nos grands-mères. Des personnes qui nous aimaient énormément et qui nous nourrissaient avec amour… difficile de reconnaître qu’il ne faut plus les copier... encore plus difficile de reconnaître qu’elles nous ont intoxiqués... par ignorance.

C’est l’habitude qui est la plus difficile à abandonnersurtout si elle avait un aspect sensoriel. Les fabricants alimentaires se concentrent en premier toujours sur le goût de leurs produits. Plus l’habitude dure, plus elle est ancrée et est considérée comme normale, bénéfique ou même indispensable. C’est pourquoi plusieurs compagnies relancent chaque décennie une nouvelle campagne publicitaire de produits anciens qui ont perdu leur popularité.

Nous sommes malades et il est ridicule de chercher à l’être tout simplement moins. L’éducation populaire est de consommer tout ce qui est mis en marché, surtout ce qui est publicisé… parce qu’ensuite, nous sommes forcés de chercher aveuglément des panacées. Au lieu de chercher à amoindrir les maux de notre alimentation actuelle, il faut chercher à éliminer définitivement de notre alimentation ce qui n’a pas été bénéfique pour notre santé.

Depuis plusieurs siècles, les êtres humains cherchent bêtement à défier toutes les Lois de la Nature. Le jeu de loterie populaire est d’aller à la limite des tricheries possibles. Au lieu de revenir dans le droit chemin du Respect les Lois de la Nature, l’on paye pour des flacons de remèdes chimiques et l’on espère une complète absolution à nos transgressions.

La Médecine fut principalement utilisée (et c’est toujours le cas aujourd’hui) pour rafistoler suffisamment les sujets du Roi pour qu’ils puissent retourner tout droit à leur travail et à leurs anciennes habitudes malsaines (pour leur corps, mais bénéfiques pour l’économie). Puisque la majorité des Autorités (politiques, religieuses et bancaires) durant 3 000 ans d’histoire étaient obèses, la Médecine n’en tenait pas compte. Si l’obésité fut mise de l’avant durant les dernières décennies, c’est à cause des coûts faramineux qui en découlent... mais, honnêtement, s’il en coûte cher, c’est qu’un certain nombre d’individus s’enrichissent... et l’on ne fait vraiment rien de sérieux pour éliminer le problème, comme interdire la malbouffe, les boissons gazeuses, etc.

La Médecine considère presque toutes les maladies comme dues à la présence de quelque chose de l’extérieur : un microbe, un virus, une toxine… un courant d’air… et plus récemment, un gène défectueux. Donc, rarement nous ne sommes pas victimes de quelque chose qui vient du dehors, ni coupables de ce qui nous avons introduit dans notre corps.

À la base, la cause d’un surpoids est la cuisson. Par conséquent, il est évident que l’on doit en tout premier réduire considérablement la quantité d’aliments cuits si l’on veut perdre efficacement du poids... C’est connu : si l’on veut se détoxiquer, il faut augmenter la consommation d’aliments crus. Mais, si c’est efficace ainsi, pourquoi alors ne pas poursuivre une diète vivante ?

L’Humain est le seul animal qui mange des aliments cuits, en plus d’être majoritaires dans sa diète. La cuisson des aliments est relativement récente dans l’histoire, et non, ce n’est pas un signe d’intelligence.

Pensez à retrouver un état de santé avant de vous préoccuper de votre apparence.

La notion de calorie est une découverte « médicale » assez récente. Ce n’est pas du tout une question de médecine, car ça n’explique en rien les processus métaboliques réels dans le gain de poids. L’apport calorique des aliments est devenu une vraie phobie. L’industrie amplifie le stress en affichant le nombre de calories sur les étiquettes.

L’utilisation des tables de calories est une énorme généralisation, comme si tous les grains de blé étaient identiques, ou toutes les carottes, tous les oeufs… peu importe leur méthode de culture, les méthodes de conservation, l’ancienneté de la récolte, etc.

L’erreur de la science moderne de la nutrition est de considérer les aliments comme une source d’énergie. C’est comme si l’on considérait le corps comme une simple machine, comme une locomotive. La digestion et le métabolisme sont alors considérés comme des processus qui libèrent les nutriments nécessaires et qui produisent du carburant par des réactions chimiques. Les activités physiologiques sont aussi associées à la production de chaleur, que l’on mesure en kilocalories. Parce qu’une calorie est la quantité de chaleur requise pour élever la température de un gramme d’eau de un degré Celsius ! C’est vraiment, mais vraiment une ridicule petite quantité de chaleur. On parle plutôt de kilocalorie… qui implique l’élévation d’un degré Celsius d’un litre d’eau.

Le nombre de calories des aliments est déterminé en utilisant un instrument que l’on nomme « bomb calorimeter », qui mesure la quantité de chaleur dégagée lorsqu’un aliment est totalement brûlé. C’est une donnée dont il est totalement farfelu d’en faire une relation avec le système digestif humain. Notre système digestif n’est pas une fournaise close dans laquelle se consument les aliments. Ce n’est pas parce que la combustion d’un aliment dans une fournaise produit une certaine quantité de chaleur qu’il en sera de même dans le corps humain. Et puis, avons-nous besoin d’énergie calorifique ou bien de nutriments cellulaires ?

L’on préfère ESTIMER les calories d’un aliment en multipliant la quantité d’hydrates de carbone, de protéines, de lipides et d’alcool qu’il contient par leur valeur de « carburant physiologique ». Ainsi, des hydrates de carbone ont une valeur de 4, les lipides, 9, les protéines, 4 et l’alcool une valeur de 7. Il n’y a aucune expérience scientifique qui peut établir ces coefficients précis entiers. Totalement ridicule ! Ce n’est encore que du marketing. Tout comme il est totalement impossible de déterminer le nombre de grammes des nutriments présents dans un aliment industrialisé. Ce qui est encore plus ridicule.

En premier, on nous dit qu’un hamburger « large » contient exactement 564 cal ! Tout simplement parce qu’il contient 39g d’hydrates de carbone (39 x 4 = 156 kcal), 32g de gras (32 x 9 = 288), 30g de protéines (30 x 4 = 120) et 0g d’alcool. Et l’on fait une simple addition! C’est comme si tous les gros hamburgers étaient parfaitement identiques et que leurs ingrédients avaient exactement le même poids et la même valeur nutritive. De toute façon, les calories ne sont qu’une invention qui concerne que les produits intoxicants industriels.

La calorie est la composante clef de la nutrition moderne pour s’assurer une consommation supportant l’Économie. Pour cela, il leur a fallu simplement établir des statistiques : relation Poids/Kilocalories.

Selon la science, vaut mieux manger trop que pas assez... alors qu’au niveau de la Santé, c’est l’inverse.

( article : PERDRE DU POIDS OU RETROUVER LA SANTÉ )
( article : ALIMENTATION 101 )
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