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VIVRE CONSCIEMMENT

Ce texte fut publié dans le eZine PeupleConnscient #001


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LA MALADIE

En 1893, Louis Kuhne sous-titrait son oeuvre « La Nouvelle Science de Guérir » par « basée sur l’unicité de toutes les maladies et leur traitement méthodique excluant les médicaments et les opérations ». Cet éminent chercheur allemand, qui a assisté des milliers de personnes, plusieurs déclarées incurables par la Médecine d’alors, dans leur guérison naturelle, démontre qu’il existe en réalité qu’une seule et unique maladie… mais, elle s’exprime de différentes manières… et que tous les états maladifs se développent selon un même principe naturel.

C’est qu’il avait observé que dans toutes les maladies, le corps cherche à expulser quelque chose vers l’extérieur ou le corps est freiné, bloqué dans son bon fonctionnement interne par quelque chose.

Donc, la maladie est une réaction du corps face à quelque chose qui lui est étranger, qui le perturbe et qui empêche le bon fonctionnement des organes. Et c’est à partir de ce fait qu’il a redéfini la maladie comme étant « la présence de substances étrangères dans l’organisme ». Sans avoir à les nommer, à les analyser, car totalement sans importance, les substances étrangères sont tout simplement des molécules dont les cellules de notre corps ne peuvent utiliser ni ne pourrons jamais le faire. Par conséquent, elles intoxiquent l’organisme et c’est leur séjour prolongé qui produit l’état maladif.
Le nom des maladies est sans importance, ce n’est qu’un gag commercial de charlatans. L’important est de regarder les réactions physiologiques du corps qui tente d’éliminer les substances qui le perturbent et l’intoxiquent.

La Médecine a toujours défini les maladies à partir des symptômes observés. Et cela que dans un but strictement commercial basé sur la simplicité d’une équation :

1 Maladie => 1 Remède

L’erreur médicale est de toujours chercher un coupable extérieur à nos problèmes intérieurs : c’est un miasme, un microbe, un virus, une substance toxique ou plus récemment, un gène défectueux.

Cette tactique, aussi commerciale, fut simplement facilitée par le refus des malades d’accepter la responsabilité de leur état maladif.
Cela est provoqué par le fait que l’on résiste à abandonner nos mauvaises habitudes qui nous fournissent tant de plaisirs lors de leur consommation, mais qui produisent des douleurs avec le temps de leur séjour digestif et même après.

Avec cette nouvelle vision de notre état maladif, nous pouvons mieux comprendre que ce n’est pas directement ce que nous mangeons qui nous rend malades, mais ce qui demeure déposé dans notre organisme et que l’on ne peut pas assimiler.

Oui, plus un repas est indigeste, plus il produira de résidus. Et si les quatre portes de sortie de l’organisme ne peuvent fournir à la tâche, il doit se produire nécessairement des dépôts, plus ou moins temporaires.
Les quatre émonctoires ne suffisent pas à leurs tâches à cause de notre mauvaise hygiène.

Nous respirons très faiblement, alors les poumons s’encrassent et sont de moins en moins efficaces. Notre peau est sèche, protégée de vêtements étouffants (et souvent agressants - fibres synthétiques, teinture). Nous consommons des boissons sucrées, colorées, alcoolisées qui encrassent nos reins. Nous passons la majorité de notre temps assis, nous manquons d’exercices, nous retenons souvent nos envies d’évacuer...

Il n’y a qu’une maladie, qu’un état maladif, mais il s’exprime différemment selon la personne. C’est le type de molécules et la quantité qui ne génèrent pas des dépôts identiques pour tous. Et puis, il y a la vitalité de chacun qui diffère. Pour déplacer la matière, ça prend de l’Énergie. Une personne qui respire à 20% de sa capacité pulmonaire n’évacuera pas rapidement ses déchets organiques.

L’état maladif se développe ainsi : les cellules sont intoxiquées (toxémie); les tissus s’encrassent (inflammation); les organes se dérèglent et se déforment (dégénérescence).

La maladie est en réalité une réaction du corps, c’est une tentative de l’organisme à évacuer ce qui lui est étranger. Alors, il ne faut pas la craindre, mais l’assister. Hippocrate disait bien qu’il fallait assister la Nature dans le processus naturel de guérison.

Les Maladies Inventées

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