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VIVRE CONSCIEMMENT Ce texte fut publié dans le eZine PeupleConnscient #005 Les textes de PeupleConscient peuvent être utilisés librement avec ou sans référence. Mais, si vous n'affichez pas la référence, vous perdrez des occasions de vous enrichir... Inscrivez-vous à PeupleConscient, recevez un code d'identification... informez-en tous vos lecteurs, vos visiteurs... et recevez des ristournes. |
SANTÉ / 1894
La question fondamentale qu’il me faut examiner tout d’abord et sur laquelle repose tout le traitement, est celle-ci : « Quel corps est sain ? Quel corps ne l’est point ? » Les opinions courantes sont très différentes. Qui n’en a point déjà fait l’expérience ? L’un prétend être tout à fait sain, mais il a quelques rhumatismes; l’autre est atteint de nervosité, mais pour tout le reste il est la santé même, absolument comme si le corps se composait de sections séparées entièrement indépendantes les unes des autres et à peine réunies en un tout. Il est étrange que cette opinion soit encouragée par le traitement [médical] ordinaire. En effet, la médecine opère souvent sur des organes séparés et tient parfois à peine compte des organes voisins. Il est cependant évident que le corps humain est un tout plein d’ensembles dont les parties sont constamment en corrélation, de sorte que le malaise d’une partie doit avoir de l’influence sur d’autres parties. Qu’il en soit réellement ainsi, c’est ce que nous pouvons observer tous les jours. Si vous avez des maux de dents, vous êtes presque incapables de tout travail et vous ne trouvez bon ni la manger ni le boire. Un éclat de bois dans le petit doigt a un effet analogue, une pesanteur dans la région de l’estomac nous enlève toute envie de nous livrer à un travail matériel ou intellectuel. Ce n’est tout d’abord que l’influence exercée immédiatement par les nerfs. Mais nous voyons déjà qu’un trouble en entraîne un autre. Si ce trouble dure longtemps, les suites en sont durables, n’importe si elles sont toujours sensibles ou non. Un corps ne peut donc être sain que si toutes ses parties sont dans leur état normal et font sans douleur, sans oppression et sans tension le travail auquel elles sont destinées. Mais ces parties doivent aussi avoir la forme la plus pratique et répondant le mieux à notre idée du beau. Si la forme extérieure n’est pas convenable, il y a eu des influences qui l’ont altérée. Mais il faut des observations fort multipliées pour déterminer les formes normales dans tous les cas jusque dans le détail; il faut surtout chercher les personnes vraiment saines sur lesquelles on puisse étudier les formes normales. Mais c’est justement cela qui est devenu presque impossible. Nous parlons de personnes saines et fortes, bien des gens prétendent être forts et bien portants; si pourtant nous les interrogeons plus précisément, chacun d’eux a un petit rien... une douleur insignifiante, des maux de tête qui se présentent parfois, des maux de dents qui le gênent de temps en temps ou bien des symptômes analogues qui prouvent qu’on ne peut nullement parler d’une bonne santé parfaite. C’est pour cette raison qu’il faut des études très variées pour apprendre à connaître la forme convenable du corps. Cependant, cela réussit en comparant les malades et les personnes à peu près saines et vous verrez encore plus clairement dans la suite de mes explications par quel moyen cela est possible. Si je vous ai dit tout d’abord en quelques mots que la maladie altère les formes du corps, je vais encore attirer votre attention sur quelques phénomènes bien connus. Je vous rappellerai en première ligne les personnes atteintes d’obésité dont le corps prend le développement que vous connaissez bien, et puis par contraste les personnes maigres chez lesquelles il n’y a presque point de couche de graisse. Ce sont là indubitablement des phénomènes morbides. Je vous rappellerai la perte des dents qui altère tout le visage, les états goutteux qui font gonfler des parties tout entières du corps, les rhumatismes articulaires dans lesquels il se forme des nœuds articulaires. Dans tous les cas, les altérations sont si frappantes que l’homme le moins exercé les reconnaît sur-le-champ. Dans d’autres cas morbides, elles sautent moins clairement aux yeux et cependant je puis vous rappeler encore certaines expériences. Vous savez tous que l’homme bien portant a l’œil clair et tranquille et que les traits de son visage ne doivent point être contractés. La difficulté est de déterminer la limite à laquelle le visage a pris l’expression convenable et vous avouerez sans peine que l’un a la vue plus perçante que l’autre pour voir juste dans cette matière. Ainsi, nous trouvons souvent une personne qui a beaucoup changé à son désavantage depuis plusieurs années que nous ne l’avons vue et pourtant il a été impossible de déterminer exactement la nature de ces altérations. Et pourtant ces transformations qui enlaidissent le corps, ont un sens profond sur lequel nous reviendrons plus tard. Il ressort de tout cela que les maladies se révèlent par des altérations du corps surtout à la tête et au cou et que c’est un problème très important de reconnaître et d’interpréter ces altérations. Que cela réussisse à tout le monde, c’est ce que je ne déciderai point, car il faut une grande persévérance et un exercice infatigable pour ces observations. Les auditeurs de mon cours de Science de l’Expression du Visage [livre] reçoivent les instructions nécessaires à ces observations. Je vais encore appeler aujourd’hui votre attention sur une autre pierre de touche de la santé. Évacuation propre Si le corps tout entier participe toujours à tout malaise particulier, nous pouvons éprouver l’état de santé sur chacun des organes en particulier, mais nous choisissons pour le mieux ceux dont l’activité peut se contrôler très bien et très facilement et ce sont justement les organes de la digestion. Une bonne digestion est un signe de bonne santé et si elle se fait chaque jour sans trouble, le corps est indubitablement tout à fait bien portant. C’est surtout sur les animaux [sauvages] que nous pouvons faire ces observations de la manière la plus claire. Nous le voyons le mieux aux excréments qui doivent être rejetés de manière à ne point salir le corps. C’est ce que vous pouvez observer tous les jours sur les chevaux et sur les oiseaux qui vivent en liberté. Vous me pardonnez de vous donner ici de plus amples explications sur cette matière, mais il faut appeler chaque chose par son nom quand on parle de santé et de maladie. L’extrémité de l’organe défécateur est si parfaitement disposée que les excréments qui arrivent en bon état, peuvent être rejetés sans difficulté tout en excluant toute salissure du corps. Le papier hygiénique est une conquête de l’humanité souffrante, mais les personnes parfaitement bien portantes n’en ont réellement pas besoin. Qu’on n’aille pourtant pas me mal comprendre; je ne veux nullement dire que celui qui n’est pas réellement sain, doive croire qu’il a remporté un triomphe en ne se servant pas du papier pour les besoins de la propreté. Chacun désormais peut voir par sa digestion s’il est bien portant ou non; cette pierre de touche est extrêmement importante, je ne crains pas de la dire de la manière la plus positive malgré les railleries des sceptiques. Heureux celui qui apprend par le moyen ci-dessus qu’il est en parfaite santé ! Depuis des siècles de pratique médicale du commerce lucratif de la maladie, les humains ont développé l’habitude d’attendre à la limite de la douleur supportable avant de consulter un médecin. La maladie, c’est dispendieux, et l’on ne sait jamais de combien sera la facture. Bien entendu, dans plusieurs pays modernes, il y a les soins médicaux qui sont payés par l’État; et ceux qui ne le sont pas, il y a toujours la possibilité de recourir à des compagnies d’assurances. Mais, même si nous n’avons pas à débourser directement de l’argent pour être traités médicalement, c’est quand même les citoyens qui payent les factures médicales. Le budget gouvernemental couvrant la Santé est toujours le plus élevé avec celui de l’armement... deux systèmes très lucratifs, deux systèmes qui éliminent légalement des humains. Le fait de ne pas devoir débourser de l’argent de sa poche à chaque consultation provoque nécessairement des abus et c’est pour cela que tous les pays subissent des débordements aux urgences des hôpitaux. Oui, il y a des gens qui consultent dès qu’ils ont un petit malaise, ou un manque affectif; mais, la majorité repousse à plus tard, surtout parce qu’ils peuvent s’automédicamenter allègrement avec tous les remèdes en vente libre, même dans les épiceries. Les gens aiment généralement s’amuser à jouer au médecin et se diagnostiquer une maladie. Ce marché lucratif des médicaments sans ordonnance nourrit en fait le Système médical, en particulier la Chirurgie. Tous ces produits « anti... » ne font qu’empirer l’état maladif, ne font qu’engourdir les organes, ne font qu’affaiblir les cellules et surchargent le système immunitaire. À force d’avaler des liquides et des pilules antiacides, les membranes de l’estomac sont détériorées à un point de non-retour et la chirurgie est nécessaire. C’est le même principe avec les analgésiques qui ne font que permettre d’intoxiquer son organisme (en bloquant tout simplement les signaux de détresse révélant les principaux endroits d’intoxication). Nous n’avons tout simplement pas été éduqués à reconnaître les prodromes et surtout pas à agir immédiatement en conséquence. Par exemple, si vous souffrez de brûlures d’estomac ou d’indigestion, c’est qu’il y a une fermentation stomacale excessive (dont l’élévation du taux d’acidité et de la chaleur sont les signes). Rajouter des substances par dessus cette boue en ébullition n’aide pas le tube digestif. Le procédé naturel pour stopper un processus de fermentation est le froid... d’où l’efficacité des bains de siège froid. Lorsqu’on comprend le pourquoi des prodromes, l’on peut agir naturellement en conséquence. Si l’on a de la fièvre, c’est que l’organisme a choisi la transpiration abondante pour éliminer le maximum de toxines dans un court laps de temps. La fièvre devient dangereuse seulement si la peau n’est pas en bon état et que les pores ne sont pas libres. C’est comme un autocuiseur dont la valve est bouchée. Chaque symptôme est lié à un ou deux organes émonctoires principaux... dont il faut favoriser le travail. Toutes les maladies chroniques se développent parce que l’on persiste dans nos mauvaises habitudes, parce que l’on attend toujours trop tard pour faire des changements, surtout dans notre régime alimentaire.
( article : JE SUIS EN SANTÉ JUSQU'À 1 )
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