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VIVRE CONSCIEMMENT

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LA MALADIE ? UNE JOKE !


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HISTOIRE DE LA MÉDECINE

Histoire Abrégée de la Médecin

La médecine est une science dont l’origine remonte aux temps les plus reculés. Bornée d’abord à quelques faits aperçus par hasard ou par un esprit observateur, la médecine n’est point un sujet d’études et d’occupations spéciales. C’est un art exercé et enseigné depuis son origine par des hommes considérés supérieurs. En fait, les premiers praticiens connus sont des demi-dieux, des rois ou des héros. Alors, ça commence bien pour établir un monopole mercantile. Surtout que le domaine le plus vulnérable de l’être humain est la souffrance.

Un autre argument de l’origine céleste de la Médecine est dû aux passages de l’Ecclésiastique où il est dit que Dieu a créé le Médecin & la Médecine ou les Médicaments, qu’il a donné la science aux hommes et que c’est Lui qui guérit l’homme. Méchant contrat ! Une puissante affirmation indigeste... vu les innombrables épidémies et mortalités tout au long de l’Histoire.

On aurait dû s’interroger un peu plus de ce même Dieu qui guérit (peu importe la religion) : pourquoi a-t-il permis en premier la maladie? Bien oui, encore le Dieu infiniment bon, infiniment parfait... qui punit les mauvais, mais pas juste ceux-là justement. Alors, où est la ligne qui délimite ceux et celles qui méritent la maladie ?

Toute l’Antiquité païenne a été dans la croyance que les dieux étaient les auteurs de la Médecine. L’art de la Médecine, dit Cicéron, a été consacré à l’invention des Dieux immortels. C’est-à-dire qu’on a imposé cet Art comme quelque chose de sacré, pour avoir été inventé par les Dieux... que l’Homme a inventé. Galien nous apprend sur le même sujet, que les Grecs attribuaient l’invention des Arts aux fils des Dieux, ou à quelques-uns de leurs proches Parents qui avaient été instruits par eux. Et Hippocrate fait Dieu auteur de la Médecine. Nous allons voir pourquoi il en pensait ainsi.

Très tôt dans son histoire, les connaissances de la médecine se transmettaient exclusivement de bouche à oreille... principalement à l’intérieur d’une même famille, de père en fils. C’était un Savoir bien gardé. Justement, Hippocrate était de la famille des Asclépiades, un ordre de prêtres médecins dont faisait partie son père.

Mais, ces connaissances « médicales » avaient simplement été archivées par certains « prêtres » suite aux consultations populaires.

Hérodite écrit : les Babyloniens font porter les malades dans le marché (car ils ne se servent point de Médecins) afin que les passants qui les voient et qui ont une maladie semblable à la leur, ou qui en ont vu quelqu’un malade, leur donnent conseil et les exhortent à pratiquer ce qu’eux-mêmes ou d’autres ont pratiqué avec succès en de semblables cas. Le même auteur ajoute: qu’il n’était permis à personne de passer auprès des malades sans s’informer de leurs maladies.

Strabon dit la même chose non seulement des Babyloniens, mais encore des Portugais et des Égyptiens. Les Portugais, dit-il, suivant une ancienne coutume des Égyptiens, placent leurs malades dans les rues ou dans les chemins, afin que les passants qui ont eu le même mal leur donnent conseil.

La simplicité de cette méthode semble du moins être une preuve de son antiquité et que c’est par où la médecine a débuté. Le nombre de ces mêmes expériences s’étant extrêmement augmenté, il a fallu nécessairement les compiler pour plus facilement les partager. C’est le simple commencement de la Médecine « naturelle ». Pline a dit : que s’il y a eu quelques peuples qui se soient passés de Médecins, ils n’ont pas été pour cela sans Médecine.

Toute la difficulté consiste à marquer le temps auquel la Connaissance s’est établie, c’est-à-dire quand a-t-on eu, ou a-t-on cru avoir un assez grand recueil d’observations et d’expériences, pour pouvoir donner des règles touchant la compréhension et le discernement de la plupart des maladies et des préceptes touchant le choix et l’administration des remèdes, du régime de vie à suivre, etc.

Que ces règles fussent fausses ou non, et ces préceptes incertains ou assurés, ce n’est pas de quoi il s’agit. À ses débuts, la médecine n’est donc en rien une science, elle n’est qu’une collection d’observations et de remèdes populaires. Et ces observations n’expliquent en rien les causes réelles des maladies, c’est un système basé sur la compilation populaire des symptômes et des expériences personnelles à essayer l’action de diverses plantes. Depuis ses débuts, la « médecine » ne comprend pas les causes de la maladie.

Alors, en quel temps cet art est-il venu à la perfection ? Il ne l’est même toujours pas présentement ! Mais, il fut une époque où l’on a érigé la Médecine au rang des Arts. C’est au moment où une petite clique, proche des Dirigeants, a décidé de prendre le contrôle de ce business (monopole) où il y a continuellement des clients.

Les premiers érudits à s’identifier comme médecins (et à se présenter aux Dirigeants –puis au peuple– comme tels) étaient donc ceux qui avaient mémorisé une grande quantité de compilations de remèdes populaires échangés par le peuple. Ce n’est pas une science, mais plutôt de la mémorisation, comme un jeu d’acteurs dignes d’une pièce de théâtre comme Le Malade Imaginaire. Une fois que les médecins se sont regroupés en associations, en corporations... ils combattront ces mêmes remèdes populaires...

Des documents datant de l’Antiquité stipulent que la visée principale de la médecine est d’éliminer la souffrance lorsque cela est possible et, quand c’est impossible, au moins de l’atténuer. C’est toujours ce que la médecine moderne pratique. Ce faisant, les causes réelles ne sont pas à être prises en considération, c’est tout le contraire. Car, pour éliminer la souffrance, il y a une série de business tous plus lucratifs les uns que les autres, allant de l’aspirine au plus récent gigantesque scanner... servant à déterminer quelles drogues à injecter.

Au Moyen-Âge, les médecins se rattachaient à l’Église... qui défendait de verser le sang. Les petites opérations chirurgicales étaient donc laissées aux barbiers. Au 14e siècle, les papes approuvèrent la confrérie des chirurgiens. Durant plusieurs années, les médecins cultivaient une haine profonde envers les chirurgiens, des nouveaux venus, sans éducation et concurrents possibles. Les chirurgiens se défendirent, obtinrent à plusieurs reprises des rois une confirmation de leurs statuts, essayèrent même de se faire agréer des médecins en faisant alliance avec eux. Rien n’y fit, les médecins s’entêtèrent dans leur haine et fort méchamment essayèrent de tourner les barbiers contre les chirurgiens: ils leur donnèrent des cours en français, et les autorisèrent à prendre le titre de chirurgiens-barbiers.

Alors, les chirurgiens firent une volte-face, et ils se réconcilièrent avec les barbiers en 1655 : barbiers et chirurgiens ne formèrent plus qu’une seule corporation. Aussitôt les médecins de triompher, et de crier partout que les chirurgiens reconnaissaient eux-mêmes leur incapacité d’être autre chose que des ouvriers.

Les chirurgiens étaient forcés de prêter serment chaque année au premier médecin durant près d’un siècle. En 1731, le premier chirurgien de Louis XV, Maréchal, obtint l’autorisation de fonder une académie dont les membres se vouèrent exclusivement à l’étude de la chirurgie. En 1743, leur association avec les barbiers fut rompue. En 1750, ils furent réunis sur le même pied que les médecins.

Bien entendu, de tout temps, les médecins contrôlent la réalité de leurs concitoyens, ils sont considérés comme les sauveurs potentiels. Potentiels, car il faut bien l’avouer, tout au long de l’histoire, les guérisons étaient et sont très aléatoires. D’ailleurs, les compagnies d’assurance calculent la valeur de votre vie basée sur des statistiques (travail des actuaires qui sont très bien payés).

À mesure que se formaient les empires, les dirigeants s’entouraient de médecins pour les soulager de toutes les orgies alimentaires qu’ils se permettaient. On a formé ensuite les Associations médicales, puis les Facultés de médecine.

Dans le Nouveau Monde (découverte de l’Amérique), la peur de la mort était omniprésente. Il y avait des blessures de flèches, de haches, de fusils et des épidémies qui décimaient des villages entiers, sans compter que derrière chaque arbre se cachait un méchant iroquois. Les nouveaux arrivants européens apportèrent tous les germes des maladies, comme la diphtérie, la variole, fièvre jaune, l’influenza... À cette époque, tout semblait contagieux. Les conditions d’hygiène étaient rudimentaires : tous les détritus étaient simplement jetés à l’extérieur près du lieu de résidence, même les carcasses d’animaux morts. La majorité des gens ne se lavaient que 2 ou 3 fois par année! On cuisinait avec l’eau du ruisseau, sans savoir qu’est-ce qui pouvait le polluer en aval (animaux morts).

Pour survivre au 19e siècle, il n’y avait que très peu de choix médicaux. La plupart des « docteurs » étaient auto-proclamés et tentaient invariablement à gonfler leur revenu avec la vente de fioles (totalement inoffensives ou mortelles).

En 1853, la fièvre jaune frappa la population de La Nouvelle-Orléans et la moitié de ses habitants moururent. 90% des indigènes américains ont péri n’ayant pas de système immunitaire préparé aux germes des Européens (dont plusieurs avaient apporté justement des couvertures infectées comme cadeaux aux indigènes qu’on voulait éliminer). Ces cadeaux infestés étaient décidés par les autorités politiques (influencées par les commerçants et banquiers) et religieuses (chaque expédition avait à son bord un Jésuite ou autres représentants du Pape). 2/3 de la population mourait avant l’âge de deux ans et l’espérance de vie était de 33 ans.

Au 16e et 17e siècle, les quelques rares livres de médecine consultés étaient des traductions des livres grecs anciens. Traductions que l’on peut imaginer souvent assez douteuses ou imprécises.

Entre 1765 et 1800, les seules cinq écoles de médecine sur le nouveau continent ont formé seulement 250 docteurs... même si les études ne duraient qu’une seule année !

Voici un extrait publié en 1882 (voilà seulement 134 ans) concernant les médecins européens d’alors et leurs pratiques pas tellement honnêtes :

Le 19e siècle a vu l’éclosion d’une horde de faux médecins. Il était alors facile de qualifier de médecin, toute personne qui conseille des remèdes. Le charlatan vend son onguent sur la place publique; le colporteur va dans les campagnes offrir épices, vermifuge ou autre élixir de longue vie; le rebouteur prétend à la science des fractures et des luxations; les médicastres accrédités dans les villages vendent des paquets de Simples bons à guérir tous les maux; les empiriques de toute sorte rançonnent l’ignorance et la superstition; les illuminés, les prétendus sorciers, tous, indistinctement, sont désignés sous le nom de médecins!

Une multitude de brochures médicales circulaient librement. En fait, c’étaient des brochures-réclames [ancêtres des beaux documents promotionnels pharmaceutiques actuels] qui annonçaient la cure infaillible de telle ou telle maladie pour certain remède qu’elles sont chargés de patronner. « Ne négligez pas de revoir à la page 15, le paragraphe 2 »; voici ce qu’on y lit: « Si, après avoir pris les doses indiquées, votre santé n’est pas rétablie, revenez au traitement, et cela autant de fois qu’il sera nécessaire pour enlever le mal, qui cédera infailliblement. » Le mal cédait infailliblement... avec le malade... après l’avoir ruiné!

Dans certains endroits, à la campagne surtout, on voit l’épicier débiter des drogues pharmaceutiques, et des pharmaciens faire les épiciers: tous vendent sans ordonnance et sont dépositaires de remèdes secrets. Dans les villes, les pharmaciens ont acquis le monopole des maladies secrètes: ils donnent des consultations gratuites, mais prescrivent une ample provision de sirop dépuratif, de tisanes, de pilules, qu’ils font payer généralement vingt fois leur valeur.

Munaret dans son livre « Le médecin des villes et des campagnes » écrit :
«... aux pharmaciens qui donnent des consultations et triplent le prix réel des remèdes qu’ils ordonnent...».

En plus de la ribambelle de charlatans pharmaceutiques, il y avait (et a toujours) ces « sorciers » qui utilisent des formules cabalistiques, des maléfices, des conjurations, des amulettes de toute sorte.

À diverses reprises, les conciles de l’Église ont été obligés de condamner les superstitions qui se pratiquaient à l’occasion des maladies ou des sorts: c’étaient des anneaux merveilleux, des amulettes faites de diverses façons et accompagnées de prières ad hoc, des chapelets qu’on portait sur soi et qui guérissaient de l’épilepsie, de la colique néphrétique, des hémorragies...
– Extraits de Erreurs et Préjugés en Médecine, publié en 1882

Ces condamnations religieuses n’étaient qu’une association secrète entre les deux Pions du Pouvoir. Le religieux aidait le médecin à faire place nette des charlatans qui faisaient beaucoup d’argent avec les malades crédules. Un petit groupe d’individus ont voulu avoir le contrôle sur ce très lucratif business... car, il y avait TOUJOURS des malades (même de plus en plus)... même chez les nouveau-nés. Puisque les maladies étaient alors des punitions de Dieu, les médecins ne pouvaient faire autrement que s’associer aux religieux.

Mais, très souvent, lorsque la médecine affirme ne rien pouvoir pour sauver un malade, ce dernier se tourne vers un guérisseur, quelqu’un avec un « don », avec une force surnaturelle inhérente... que l’on suppose être accordée par Dieu... eh oui, encore ce lien entre les deux Pions. Lorsque le médecin échoue, illico la personne est dirigée vers la « magie » ou la religion... peut-être que Dieu nous sauvera ! Bien entendu, à condition d’avoir toujours payé sa dîme et d’avoir fait hebdomadairement des offrandes à son serviteur accrédité!

L’aspect scientifique de la médecine se limite au catalogage des parties du corps humain que l’on a disséquées. Mais, il n’y a rien sur les processus, sur le développement des maladies. Simplement parce que l’on a étudié et continue d’étudier des corps sans vie, des cadavres. La médecine ne peut pas suivre le germe et l’évolution de la maladie. Et si elle le faisait et le révélait, ce serait alors sa perte. Si le livre La Nouvelle Science de Guérir (publié en 1893) se trouvait dans chaque foyer, les médecins et les pharmaciens disparaîtraient rapidement !!! … ainsi que toutes les maladies chroniques et de dégénérescence!!!

Il est impératif de briser ce monopole de la médecine et de la pharmaceutique. Si elles avaient raison, les hôpitaux ne seraient pas toujours surchargés! et on n’en serait toujours pas à engloutir des milliards de dollars dans de futiles recherches.

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