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VIVRE CONSCIEMMENT

Ce texte fut publié dans le eZine PeupleConnscient #002


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RELATIONS INTERPERSONNELLES

Une des définitions d’un être vivant est que c’est un organisme ayant des relations avec son environnement. Il y puise des ressources et y rejette des déchets métaboliques, c’est la base de la survie physique.

Mais, pour évoluer mentalement, il faut aux êtres humains des relations interpersonnelles, car, comme tous les animaux, nous apprenons par mimétisme. C’est par nos relations avec nos semblables (et les autres organismes vivants) que nous évoluons, que nous nous perfectionnons. À chacune de nos actions, les réactions des autres nous instruisent de la morale (basée sur la dualité du Bien & du Mal), ce qui nous aide à déterminer si nous pouvons refaire les mêmes actions ou non. Malheureusement, nous apprenons trop souvent par la pratique de punition si nous avons « socialement » commis une erreur.

Toutes les relations servent donc en premier à nous aider à développer la notion de Bien, relativement à notre environnement personnel.

Une relation est simplement un échange d’Énergie : captation & émission d’ondes. Et c’est par les cinq sens que cela se produit constamment. Plus il y a de sens qui sont affectés (et plus ils sont stimulés), plus l’Énergie Éthérique est ressentie. Parler en vidéoconférence avec une personne est plus Énergétique que de lui parler au téléphone (seulement l’ouïe) ou de lui envoyer un texto (seulement la vue).

En présence d’une personne, il y a en plus de la vue et l’ouïe, l’odorat qui capte d’importantes vibrations révélatrices. Pour élever le rythme vibratoire, il suffit d’ajouter des captations d’un autre sens... et l’on touche la personne.

Le baiser couronne une relation interpersonnelle puisqu’il implique les 5 sens (ajoutant le goût en dernier).


Dans n’importe quelle relation, dès qu’il y a quelque chose de dérangeant ou de blessant, il est très facile (et populaire) d’accuser l’autre. C’est une réaction normale du mental qui n’apprécie pas reconnaître ses erreurs de jugement, soit ses erreurs de décodage (et d’encodage).

Pour n’importe quel évènement qui survient au long de notre vie, nous enregistrons toujours les informations sensorielles en fonction de nos croyances. Certains gestes, certaines paroles sont très souvent mal interprétés et par conséquent, mal encodés dans notre mémoire. Ces interprétations erronées nous poussent toujours à agir douloureusement pour soi-même et pour l’autre personne en cause.

Nous avons été programmés depuis des siècles à toujours accuser une cause extérieure pour nos malaises intérieurs. Par la même fausse déduction, l’on cherche à l’extérieur des remèdes (au lieu d’assister les processus de régénération intérieurs). Les êtres humains tendent à refuser la responsabilité de leur réalité, et c’est le principe même de l’accusation.

Accuser l’autre c’est ne pas vouloir s’observer sincèrement, de ne pas vouloir accepter ses infractions, ses erreurs, et surtout, ne pas vouloir les corriger. En accusant l’autre d’être responsable, l’on rate la leçon métaphysique et une situation similaire va se reproduire à nouveau... même après un divorce... qui n’aura en réalité servi à rien... simplement à reporter à plutard la reconnaissance de notre responsabilité de tout ce qui nous arrive.

La cause qui a poussé l’homme à altérer les Écritures et à fausser l’Histoire est sa grande honte, c’est le mensonge formidable, roulé à travers les générations.


Une relation peut nous apporter un grand plaisir, mais aussi une grande souffrance. Jadis, les gens avaient beaucoup moins de relations, les moyens de transport et de communication n’étaient pas si rapides ni aussi accessibles.

Le sentiment que provoque une relation dépend strictement du décodage mental de chacun. Dans n’importe quelle situation, il y a toujours plusieurs points de vue, en réalité, autant qu’il y a de spectateurs. Car, chacun de nous décodons la réalité en fonction des enregistrements passés.

Notre Évolution doit nécessairement passer par nos relations, car c’est par nos échanges avec les autres que nous pouvons apprendre de nous-mêmes... pour nous corriger, pour nous améliorer, pour irradier (en augmentant son rythme vibratoire).

Nous sommes tous des miroirs grossissants (des qualités tout comme des défauts) pour les autres, faisant ressurgir à un moment l’expression d’un pattern comportemental. Nous observons les patterns des autres au travers nous-mêmes (qui sont à différents niveaux, à différentes vibrations).

Une personne jalouse sait reconnaître une personne jalouse; un voleur sait reconnaître un autre voleur; un menteur sait reconnaître un autre menteur... L’on ne peut voir chez l’autre que des « défauts » et des « qualités » que nous avons. Avant de critiquer l’autre, il faut se critiquer soi-même. Avant de chercher à changer l’autre, il faut se changer soi-même. En changeant, en s’améliorant, on force les autres à le faire aussi. Avant de chercher à aimer une autre personne, il faut s’aimer soi-même !

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