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VIVRE CONSCIEMMENT Ce texte est extrait du eBook LA MALADIE ? UNE JOKE !
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ÉTAT MALADIF / DOULEUR
La Douleur La douleur est la cause première de cette dépendance aveugle face Puisque la douleur nous dirige directement et aveuglément entre les mains de la médecine pharmaceutique, il est important de s’attarder sur ce qu’elle est. Officiellement, la douleur est une sensation pénible en un point ou dans une région du corps. Mais, la définition médicale n’explique pas sa présence. La médecine ne s’est appliquée qu’à chercher à l’engourdir (analgésie, antalgie, antinévralgie, anesthésie, opiacés...). Des documents datant de l’Antiquité stipulent que la visée principale de la médecine est d’éliminer la souffrance lorsque cela est possible et, quand c’est impossible, au moins de l’atténuer. La médecine moderne continue de faire croire à des buts qui ont toujours fait un large consensus dans le public : la prévention de la maladie et la promotion de la santé, le traitement des maladies curables, le soulagement de la souffrance et la préparation à une mort paisible lorsque celle-ci devient inévitable. Tout cela est pure fumisterie. La médecine moderne n’est qu’un business exploitant commercialement la souffrance humaine. En réalité, la médecine ne sert que de représentant «officiel» pour imposer le business pharmaceutique. Après des décennies de ventes de produits chimiques (alimentaires et médicaux), on a réussi à programmer l’être humain à accepter la douleur comme un processus incontournable. Particulièrement pour ceux et celles qui croient que l’être humain, chassé du Paradis terrestre, doit souffrir... entre autres pour mériter sa place au Ciel... Nous, pauvres pécheurs, devons souffrir pour expier nos péchés. Mais, comme nous l’avons vu, le politicien, l’industriel et le religieux travaillent main dans la main pour garder le peuple esclave, dépendant et servile. Plus un humain souffre, plus il est vulnérable. Selon l’opinion de certains philosophes, la souffrance est indissociable de la condition humaine. Mais, comment se fait-il qu’aucun autre organisme vivant ne souffre sans son habitat naturel? Qui a vu pleurer un animal? Le sujet de la souffrance est souvent évité dans la pratique et dans l’éducation des soignants. Ceux-ci ignorent tout des moyens de diagnostiquer la souffrance, ce qui rend son allégement d’ores et déjà impossible. La volonté de diagnostiquer la souffrance cache un piège, car, tout diagnostic ne peut que mener qu’à la prescription de médicaments, qu’à une opération ou à la commande d’un cercueil. Le principe même de la médecine moderne est de traiter de façon expéditive pour que les clients passent vite à la caisse de la pharmacie ou même du supermarché (tablettes remplies de médicaments qui ne requièrent pas de prescription). Les analgésiques ou antidouleurs prennent une part importante en médecine et cela dès son origine. Opium, morphine, cocaïne, codéine, novocaïne, lidocaïne, acétaminophène, alcool, quinine, oxyde nitrique, colchicum, chloroforme, éther, inondent (ou ont inondé) le marché pharmaceutique. Les causes de la douleur L’effroi est le premier sentiment humain et le plus dominant. Les premiers hommes avaient peur devant les maladies, ils avaient peur devant la Nature et les forces extérieures (il en est toujours ainsi, et c’est pour ça que les humains s’agglomèrent dans les cités). Les premiers dieux sont des effrois personnifiés par une vague anthropomorphique. Ce sont des pouvoirs, des esprits essentiellement ennemis et méchants. La croyance à une divinité très débonnaire et bienfaisante est tardive et bien moins répandue qu’on ne croit. En tout premier lieu, nous devons reconnaître que peu importe les douleurs ressenties, elles sont causées : a) par la présence de substances, étrangères au corps, qui perturbent l’écoulement normal de la vie; b) par le déplacement de ces toxines nocives et blessantes à l’intérieur de nos petites cellules « toutes roses » et fragiles. La douleur est possible que lorsque de la matière inorganique et de la matière organique se frôlent. Un exemple simple peut s’expérimenter lorsqu’un genou glisse sur du béton (org. <> inorg.). Alors que lorsqu’on caresse, la douleur n’existe pas (org. <> org.). Lorsque la matière inorganique se déplace au travers de la matière organique, il y a nécessairement des frictions. Ce sont ces dernières qui sont exprimées par la sensation de douleur. Lorsque le corps est alimenté par des aliments qui ne lui sont pas destinés, entre autres ceux industrialisés, on laisse pénétrer des matières inorganiques agressives et blessantes. Inutilisables et devant être nécessairement évacuées, ces matières doivent traverser péniblement tout l’organisme (n’oublions pas que nous avons neuf (9) mètres d’intestins). Le drame est que l’on impute toujours à des causes extérieures la responsabilité de nos piteux états internes : virus, microbes, bactéries et même le dangereux courant d’air. Il est pourtant indéniable qu’il y a quelque chose qui est en nous et qui n’a vraiment rien à faire là (sauf nous blesser et enrichir les personnes qui nous obligent à tout garder en dedans). S’il y a douleur, c’est qu’il y a des grains de sable dans la mécanique. Les organismes dits malades sont ceux qui réagissent à des agents étrangers avec lesquels ils sont entrés en contact ou qu’ils ont eux-mêmes produits. Ces substances, en grand nombre par notre hygiène actuelle, se logent dans différents endroits à l’intérieur du corps, attendant que l’organisme puisse les évacuer. Leur évacuation est nécessaire et indispensable, car elles sont inutilisables et de plus en plus toxiques selon la durée de leur séjour au chaud et à l’humidité. Si leur dépôt progressif se fait toujours sans douleur, leur évacuation elle, est ressentie puisqu’elle est plus rapide et que les matières déplacées vers les portes de sortie sont en plus forte concentration. Chaque jour de votre vie, une petite quantité de matières inutiles s’accumulent en vous. La douleur survient seulement lorsqu’un système est menacé dans son fonctionnement par des dépôts de résidus non évacués. Les dépôts peuvent prendre plusieurs années avant d’être menaçants. Mais, peu importe leur ampleur, leur élimination est TOUJOURS ressentie douloureusement. Et c’est ce processus naturel d’élimination que l’industrie médicale a su savamment exploiter commercialement. |
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