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VIVRE CONSCIEMMENT

Ce texte fut publié dans le eZine PeupleConnscient #003


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LIVRE ANCIEN

L’auteur commence par s’interroger sur notre considération que la maladie est un mal inévitable, un attribut obligé à l’être humain, une nécessité existentielle fatale. Comment la Nature (il emploie le mot Dieu évidemment) a-t-elle pu créer des organismes vivants éternellement victimes de la maladie… lorsqu’en fait celle-ci n’est possible que s’il y a une violation des Lois de la Vie ???

Pour lui, ce n’est que le fait monstrueux d’une civilisation barbare et ignorante… et il affirmait en 1861 que l’ignorance des êtres humains concernant la maladie devait disparaître, tout comme disparaissent les bêtes féroces des contrées sauvages, à mesure que les êtres humain s’y établissent.

Il accuse d’emblée les médecins, ceux qui avaient été envoyés pour nous libérer de la maladie, d’être au lieu devenus les complices de cette dernière.

« Et ces hommes égarés avaient jeté sur nous un voile si épais d’ignorance, que nous avions perdu jusqu’aux dernières traces de la nature prévoyante dans ses voies et moyens infaillibles de guérison, sur lesquels ils s’appliquaient à déverser le ridicule et le mépris avec une sorte de fureur. »

« Au dépôt sacré de l’art si simple de guérir qu’ils avaient reçu, ils ont substitué le CHAOS de leur science; et, dans le culte de cette fausse divinité, ils se sont placés eux-mêmes sur l’autel pour recevoir les adorations de l’ignorance des gens du monde crédules, soumis et jugés incapables d’atteindre jamais les hauteurs de l’enseignement officiel. »

« Ah! si tout le monde voyait le mal causé par l’orgueil et l’aveuglement de ces faux-prêtres, et tout le bien qu’ils auraient pu faire et qu’ils n’ont pas fait!... Quelle grande et profonde plaie sociale!... C’est seulement en nous instruisant et en nous débarrassant de nos préjugés que nous pouvons la guérir. »

Et nous en sommes qu’à la page 2 !

Hureaux s’est donc engagé à faire connaître aux gens du monde la véritable médecine de la Nature, qu’il a nommée « la Médecine éliminatrice » ou « Éliminopathie » ou « L’Art de se guérir avec certitude enseigné par la Nature ».

Ils implorent les malades de quitter les préjugés et les erreurs funestes de la médecine ordinaire (« la médecine homicide des systèmes ») qui entretient, prolonge et nous prépare de mortelles maladies (par l’administration de produits chimiques). Il dit que Rome a eu raison d’interdire l’entrée dans la ville aux médecins durant six siècles.

Ce qu’il enseigne n’a pour but que « chacun devienne le médecin de soi-même » ou son propre médecin… car, nous sommes tous porteurs des germes de la Médecine de la Nature.

Bien entendu, en tant qu’ancien pharmacien, il accuse la fausse application de la chimie (applications des propriétés de la matière inerte aux phénomènes de la Vie). L’inorganique ne peut pas régénérer l’organique des êtres humains. La mort ne peut pas engendrer la vie. Les médecins sont tout simplement aveugles devant le spectacle animé…

Car la médecine s’est développée qu’en analysant des corps inanimés. Le savant ne peut constater la vie, puisqu’il ne fait qu’opérer sur la nature morte (pour tenter d’en retirer les principes constituants).

Il a compris que chaque plante possèdent des propriétés particulières, des vertus spéciales, comme l’âme qui anime chaque être possédant son caractère propre.

Précurseur de Louis Kuhne, il affirmait qu’il n’y a qu’une seule maladie (« l’unité de la maladie ») ayant plusieurs différentes manifestations. Il arrive également à la même conclusion : unité de cause, donc unité de médication (« cette triple unité forme le pivot de la vérité médicale »).

« La véritable médecine est la plus simple et la plus naturelle des choses. »

Oui, le principe de la Guérison est très simple : « Soustraire du corps ce qui est mauvais. Conserver et renforcer ce qui est bon. »

Bien entendu, après la publication de La Médecine éliminative, ou l’Art de guérir avec certitude, enseigné par la Nature, il a soigné plus de 1000 malades en quelques mois (plusieurs diagnotiqués incurables)... chez lui, à la campagne, alors qu’il était retraité.

Des médecins classiques ont réagi bien entendu, ont formé une association (en 1860) qui a demandé devant les tribunaux que le Professeur paye une amende (dommages–intérêts) « pour s’être permis de guérir les malades sans être médecin de la Faculté ».

« Ainsi, les médecins accusateurs placent tous les arguments de leur défense dans une loi vieillie, qui condamne celui que la témérité de son dévouement pousse à guérir, à sauver ses semblables, et dans une jurisprudence qui laisse encore l’humanité souffrante au niveau d’une matière exploitable et monopolisée par la corporation médicale. Entendez-vous les doctes médecins nous crier : Halte-là; les malades nous appartiennent; nous avons le droit de les laisser mourir, mais vous n’avez pas celui de les sauver; sinon, nous vous demandons des dommages–intérêts. »

La plupart de ses malades avaient épuisé les ressources de la médecine allopathique.

Pour lui, un « médecin de la Faculté » n’est pas un médecin, mais simplement un savant, un légiste, un docteur… qui a étudié toutes les sciences qui ont toujours tenté de supprimer l’enseignement et l’instinct de la Nature.

« Le médecin, c’est celui qui ne quitte point le chevet du malade qu’il veut modestement guérir, en secondant la nature dans ses votes infaillibles de guérison. Dans l’origine, médecine est synonyme de purifier, éliminer.

« Mais depuis que, par une ambitieuse et criminelle déviation, la médecine s’est obstinée à vouloir trouver, en dehors de la nature, des voies de guérison dans les sciences naturelles, dans la chimie, dans la physique, dans les mathématiques, dans la physiologie, dans la philosophie, etc., enfin dans des lambeaux de science plus ou moins sophistiqués, méthodes, théories, systèmes, doctrines, la science conjecturale des docteurs-médecins, s’est faite homicide, en outrageant la nature, et en causant plus de ravages sur l’humanité que la maladie elle-même. Cette médecine savante n’est plus la médecine, et ses docteurs ne sont plus des médecins. On trouve ici l’explication de cette anomalie, d’humbles officiers de santé incomparablement supérieurs, au lit du malade, à nos érudits et brillants professeurs des facultés de médecine.

« C’est donc bien indûment que les docteurs de la science prétendent exercer un droit et un monopole sur les pauvres malades comme s’ils étaient leur propriété. »

« En effet, avec la vraie médecine naturelle :
- plus de savoir académique,
- plus de saignées,
- plus de diète forcée,
- plus de poisons pour remèdes,
- plus de science conjecturale,
- plus d’erreurs, ni d’obscurité, ni de mystères.

« La médecine conjecturale des Écoles se montre, des hauteurs de l’enseignement classique, inaccessible à l’intelligence du vulgaire, qui doit l’accepter ou la subir sans la comprendre. La médecine positive de la Nature est acquises à tous. »

« Surpris dans leur sommeil par les clartés nouvelles de la vraie science médicale, honteux de leur nudité, les médecins, endormis dans la routine, voudraient remettre sous l’éteignoir une lumière indiscrète; mais l’ignorance du public est une monnaie qui n’a plus cours. L’intelligence et le bon sens populaire crient à ces hommes de la nuit : “Il est trop tard !”

En effet, la lumière s’est faite, les faits parlent, et la raison éclairée juge librement. »

Heureux ceux qui reconnaîtront la vérité !
Ils seront délivrés des maladies qui affligent l’humanité.

– Prof. Hureaux

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(eBook : ART DE SE GUÉRIR SOI-MÊME )
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