- PEUPLE CONSCIENT HÉBERGE PLUSIEURS SITES INTERNET INTER-RELIÉS -

Ce sont les personnes conscientes, pacifiques, écologiques, qui ont le plus besoin d'argent...

Faites connaître ce site et soyez rémunéré$$$

• • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • •


VIVRE CONSCIEMMENT

Ce texte sera publié dans
LA PROCHAINE MUTATION


Les textes de PeupleConscient peuvent être utilisés librement avec ou sans référence. Mais, si vous n'affichez pas la référence, vous perdrez des occasions de vous enrichir... Inscrivez-vous à PeupleConscient,
recevez un code d'identification...
informez-en tous vos lecteurs, vos visiteurs...
et recevez des ristournes.
SYSTÈME OUVERT / MUTATION

Niveau de Stress

La mutation est un changement soudain d’état, c'est une restructuration moléculaire.

Les cycles de vie d’un système ouvert
Système ouvert : une ou des entrées, une transformation (libération d’énergie et travail accompli), évacuation à l’extérieur du système des résidus de transformations.

  • la naissance, première enfance : yin, la mère, l’inconditionnel, l’amour, l’énergie, la construction, l’ébauche, (0 – 7 ans)
  • l’enfance : yan, le père, conditionnel, l’action, la direction, le modelage, (7 – 14 ans)
  • l’adolescence : la transition, la synthèse, la rechercher, l’expérimentation, la sélection, le tri, (14 – 21 ans)
  • l’adulte : l’équilibre yin-yan, le rayonnement, la liberté, la création, (21 - 99)
    la transcendance : contrôle de son entité, de son champ énergétique, espace-temps, immortalité. (21 - )

Le non-contrôle de son entité divine n’implique qu’une mort physique et l’énergie est redistribuée entre d’autres entités

Tout système ouvert tend vers la perfection. En cours de route, en cours d’évolution, le système se complexifie générant des états de stress.

Le stress n’est que la friction de la matière entre elle.

Stress à gérer les entrées : pour éviter les collisions, pour éviter les pertes, pour éviter les gaspillages (distribution de la matière première à toutes les composantes).

Stress à gérer la production : pour éviter les gaspillages de temps et d’énergie, pour éviter les travaux inutiles, pour régulariser les productions en fonction des demandes.

Stress à gérer les résidus : pour éviter les gaspillages de matière première impropre, pour éviter les dépôts toxiques à l’intérieur du système.

Le stress est dans le Non-Instant-Présent. Car tout dans la nature, suit un cours normal. Le stress actuel de la Nature, n’est qu’une création humaine matérialiste.

L’évolution d’un système ouvert est toujours liée au stress. Le stress est l’ensemble des perturbations non spécifiques de l’organisme (agent extérieur) à un ou des agents agressifs.

Le stress peut être causé par une plus grande activité. L’activité est l’ensemble des déplacements et transformations de la matière. Vous avez compris que les déplacements sont à la fois au niveau de l’entrée, à l’intérieur ainsi qu’à la sortie. Encore une fois, l’exemple de la ville explique bien cela, surtout à voir les villes continuellement se développer.

Tout citadin est conscient de l’accroissement du stress de la réalité citadine au cours des dernières décennies. Il y a de plus en plus d’embouteillages, l’on perd de plus en plus de temps à se déplacer dans la ville ou pour y entrer ou en sortir. Cela est encore plus frappant si le centre-ville est situé sur une île, comme Montréal. Cet accroissement d’activités (de stress) force la construction de nouveaux ponts, de nouvelles autoroutes (avec plus de voies de circulation, avec des sorties plus efficaces...).

Plus il y a d’activité à l’intérieur de la ville, plus il doit y avoir des règles (lois). S’il n’y avait pas de règlements, ce serait le chaos et la destruction. C’est de plues en plus stressant de vivre à la ville, ne serait-ce que par l’accroissement du nombre de véhicules en circulation. Il y a également des distances plus grandes à parcourir, un plus grand nombre d’endroits à visiter (nouveaux magasins, nouveaux amis....), il y a plus de décors à mémoriser (pour retrouver son chemin), plus de règles à respecter (comme les sens interdits). Observez le nombre de panneaux de circulation toujours croissant. À des endroits, cela prend 15 minutes pour simplement comprendre la signalisation réglementant une place de stationnement.

À partir de sa naissance, un système ouvert subit un niveau de stress croissant. Normalement, rendu à maturité, il a acquis une adaptation naturelle qui lui permet de gérer le stress sans complication (comme apprendre à éviter les prédateurs). C’est alors le lent vieillissement.

Tout système ouvert atteint un jour ou l’autre un niveau de stress limite.

Cela se produit lorsque les déplacements de matières sont optimums. Vous ne pouvez pas faire entrer dans une ville plus d’un certain nombre de camions dans une heure (approvisionnement en matières premières), tout comme le nombre de camions sortant de la ville est également limité (éboueurs, vidanges).

On peut affirmer que le système économique suit la même loi. Ainsi, « la croissance » sur laquelle est basé le système de consommation a nécessairement une limite. Et plus cette limite est éloignée, plus sa chute est douloureuse.

La Nature suit des cycles, elle doit continuellement recycler. Plus la pollution est grande dans un système ouvert, plus la crise de purification (guérison) sera importante (et douloureuse). Nous observons cela bien entendu dans le corps humain. Nous sommes forcés de le constater également dans nos écosystèmes où les catastrophes naturelles sont de plus en plus importantes et destructrices. Mais, les catastrophes naturelles ne détruisent pas la Nature, elles ne font qu’accélérer des processus de recyclage (nettoyage, purification). Les catastrophes naturelles détruisent les « merdes » que les humains ont fabriquées.

Le But de la Création, qui en est enfin sa Loi : toujours réorganiser les molécules, les atomes dans un tout plus complexe, plus évolué, plus parfait. On pourrait penser que c’est un grand cycle entre la vie et la mort. Mais, c’est plutôt une spirale conique. Chaque organisme meurt un jour, mais l’Ensemble continue d’évoluer.

Le processus de l’Évolution est très lent et régulier, lorsque tous les systèmes fonctionnent naturellement (donc parfaitement). Il n’y a alors aucun stress dans aucun des systèmes de l’écosystème. Mais, s’il y a dérèglements dans l’un ou plusieurs systèmes, comme la composition de l’atmosphère, cela génère un stress à l’Évolution, la succession des évènements se bousculent, il y a accroissement de frictions, de résistances, de douleurs, de conflits, de luttes, d’agressions, de guerres...

Mais, lorsque le niveau de stress est trop élevé, l’Évolution éclate et fait un saut quantique : une réorganisation majeure des agencements moléculaires (même atomique), ce que nous appelons « mutation ».

Une mutation survient dans certains systèmes ouverts
lorsque le taux de stress a atteint son paroxysme.

Cela se produit principalement lorsque le niveau de stress augmente soudainement, ce qui provoque une intense modification des processus internes des organismes vivants (c’est la panique générale). Et cela est toujours relié par une modification de l’environnement.

Pour qu’une mutation ait lieu, il doit évidemment y avoir une stimulation extérieure, un accroissement de l’Énergie vitale. Cela prend une grande quantité d’Énergie pour faire vibrer des molécules assemblées au point de les dissocier. Il y avait un Ordre, soudain c’est le Désordre. Dans ce Chaos, les molécules sont hyper excitées et les pertes d’énergie mènent à l’établissement d’un nouvel Ordre : les molécules sont réagencées dans une forme différente.

Les mutations sont naturellement nécessaires pour une adaptation rapide à un nouvel environnement. Il n’y a pas de règles qui s’appliquent puisque chaque mutation est différente (car en fonction des molécules en présence, de la structure ordonnée et de la source soudaine d’énergie extérieure).

La mutation survient pour surmonter des conditions adverses subites de l’environnement, sinon c’est la destruction.

En archéologie, nous n’avons aucune trace (squelette ou fossile) d’animaux qui ont vu leurs ailes pousser de quelques millimètres chaque décennie ou millénaire. La pousse d’ailes fut instantanée pou un certain nombre d’individus de certaines espèces d’animaux terrestres.

Face à un déluge, l’animal en panique (excitation de l’Énergie vitale) a eu le choix : muter/envol ou périr/noyade.

La mutation d’alors fut une question de survie, d’adaptation à un nouvel environnement (disparition de la terre recouverte d’eau).


L’inévitabilité de cette future Mutation de l'Humain

Il est impossible d’éviter cette future Mutation. Simplement parce que l’on ne peut continuer à modifier l’environnement sans devoir changer la constitution de nos systèmes vivants.

Le stress dans les systèmes affecte tous les humains, tous leurs organismes (comme les mairies, la politique...) et cela se voit dans les agissements planétaires actuels : scandales, démissions, poursuites, emprisonnements abondent dans la plupart des pays.

Notre société est actuellement près du sommet de la courbe du stress. Les conflits sont de plus en plus nombreux, que ce soit au niveau des pays ou de la famille. Il est logique d’imaginer qu’une Mutation est prochaine en ce qui concerne plusieurs espèces, dont l’être humain.

Au delà de notre faible influence sur l’écosystème global, en aucun cas nos ne pourront nous prévenir des bouleversements terrestres provoqués astrologiquement.

En aucun cas les dinosaures auraient pu prévenir leur extinction. Une espèce animale ou végétale n’a jamais eu la définition d’être éternelle.

Ceci est un concept stritement humain... la quête du St-Graal.

Inscrivez-vous à PeupleConscient,
faites connaître nos publications et profitez d'une occasion exceptionnelle d'être
prospère.

Merci, et bonne lecture!



des textes inspirants gratuits sur l'actualité et sur tous les domaines de votre vie.

Supportez le site de
PeupleConscient
abonnez-vous au eZine
et instruisez-vous
.



cliquez pour consulter
les Sommaires et
des extraits des numéros parus