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VIVRE CONSCIEMMENT

Ce texte fut publié dans le eZine PeupleConnscient #004


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RÉALITÉ / DÉCISIONS

Dès le réveil, notre existence se compose d’une série de décisions : des vêtements, de la nourriture, de la boisson, du transport, du travail, des communications, des achats, etc., etc., etc. Toute notre vie durant, nous cheminons un corridor qui nous mène à un vestibule ayant « cinq portes »… chacune d’elles s’ouvre sur un autre corridor qui mène à un autre vestibule avec cinq nouvelles portes… et ainsi de suite. Une fois la décision prise de la porte la plus attirante (peu importe nos raisons personnelles), il y a un tracé conséquent (le corridor).

Nous avons tellement de choix à faire (avec toujours le petit stress de se tromper, de ne pas prendre le bon choix) que l’on se résigne souvent à ce que d’autres décident à notre place. C’est en autre ce que nous faisons en consultant un thérapeute ou en remplissant le panier d’épicerie sans réfléchir.

Plusieurs personnes ont un sérieux problème à prendre des décisions et cela est directement lié à la peur de l’échec ou de se tromper. Prendre des décisions ne devrait pas donner l’impression d’un poids immense ou provoquer un tourment émotionnel.

Plus les conséquences d’une décision ont un impact dans le temps, plus elles font hésiter. Décider le plat d’un menu au restaurant versus l’achat d’une robe.

Plus l’objet en cause dans une décision est lourd et fixe, plus l’hésitation sera grande. C’est le cas de la décision d’acheter une maison, comparativement à acheter une boite aux lettres.

Pour faire le bon choix, il faut prendre le temps de réfléchir. Malheureusement, nous n’avons pas été pour la plupart élevés dans une société qui incitait à la réflexion, mais plutôt au divertissement. Le divertissement est en fait visionner les autres (des modèles) qui prennent des décisions. Et plus nous nous divertissons, plus nous accumulons des données décisionnelles… plus il devient difficile de faire le choix parmi toutes ces possibilités dont nous avons été témoins dans nos visionnements. Le cerveau ne peut gérer qu’une certaine quantité d’informations à la fois.

Le meilleur endroit pour prendre les bonnes décisions… c’est à l’extérieur, au grand air… et même préférablement dans la nature… là où il y a le moins de divertissements. La marche est l’activité la plus propice à la prise de décision (nous voyons souvent les gens en réflexion faire les 100 pas). Plus votre cerveau est oxygéné, plus il est stimulé, plus il est en mesure de processer une grande quantité de données. Relaxez-vous… car, l’anxiété obscurcit le jugement.

C’est le matin au lever que l’on a souvent des réponses à nos interrogations.

Prenez le temps de visualiser le futur, d’imaginer quelles pourraient être les conséquences de votre décision importante.

En fait, toutes les décisions sont bonnes… à condition d’accepter toujours les conséquences… et d’avoir la volonté de changer une décision s’il y a lieu. Le plus souvent, nous pouvons revenir en arrière, partiellement ou complètement. Dans les vestibules, toutes les portes sont « bonnes », c’est seulement les tracés derrière elles qui diffèrent : certains plus faciles, plus agréables, plus directs, plus longs ou plus courts… mais, ce sont les apprentissages durant les trajets qui importent, pas les décors ni les personnages rencontrés.

C’est la recherche de la certitude qui souvent nous paralyse. Il arrive que devant un choix à faire, nous soyons tellement paralysés que finalement nous faisons le choix de choisir ce qui ne nous fera pas bouger, pas changer.

Dans chaque situation crée par une décision mentale, il y a une leçon métaphysique à saisir. Il n’y a donc pas de mauvaises décisions. L’on regrette une décision seulement lorsqu’on n’est pas satisfait du résultat, lorsqu’on refuse d’apprendre la Leçon.

Mais, il faut toujours prendre les décisions en premier pour soi-même. Trop de gens font des mauvais choix de vie (parcours plus difficile, moins de bonheur) à cause de leur parenté ou de leurs amis. L’on ne doit pas avoir peur de réprobation sociale, cela n’est qu’un frein à main. Pensez plutôt à ce que vous décideriez si vous étiez seul.

Une décision nous semble parfaite que lorsqu’on accepte les conséquences. Quelle que soit la décision, il y a toujours des choses à améliorer.

Il faut souvent mieux se fier à son intuition et décider rapidement que de laisser trainer l’indécision. Car, généralement, plus vous reportez une décision, plus d’inconvénients il y aura.

Ne pas prendre de décision est bien prendre la décision de ne pas en prendre.

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